5 décembre 2006
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En lançant il y a quelques semaines une offre de coaching en ligne, je décidais d'explorer un nouveau territoire que m'avait inspiré la lecture de la révolte du pronetariat. Rapidement, j'ai "signé" plusieurs affaires, actuellement en cours. Il est certes trop tôt pour tirer des enseignements définitifs, ou faire un bilan. Pourtant, quelques éléments m'ont déjà frappé : - - les clients respectent scrupuleusement leurs engagements, en particulier sur l'horaire des séances, même si certains reconnaissent ne pas toujours le faire par ailleurs;
- - l'utilisation de la webcam, testée ici ou là, s'avère inutile, le canal principal étant bien le téléphone;
- - la voix sur IP - en l'occurence l'utilisation de skype - reste la priorité;
- - l'accord sur les objectifs à atteindre a été "conclu", et cet accord sert de fil conducteur à la démarche comme pour les opérations de coaching habituel;
- - une première "rencontre du 3ème type" a eu lieu pour approfondir le travail stratégique, et a prolongé le travail engagé en ligne.
| Enfin, cela mérite d'être noté, les feed-back clients sont très positifs. Les cyber-clients ont repéré des champs d'expérimentation nouveaux, tenté, et se sont appropriés des pratiques de management ou d'organisation hors champ habituel. Ce sont leurs propres commentaires... A titre personnel, j'en tire des bénéfices collatéraux - à défaut d'en faire un très gros business financier pour le moment : - - je peux coacher sans me raser;
- - je remplis "intelligemment" des zones inexploitées de mon agenda;
- - j'ouvre la porte de clients que je n'aurais pas atteints autrement;
- - je consolide et professionnalise une pratique que j'exerçais spontanément, soit avec des clients habituels mais de manière épisodique, soit avec des amis ou la famille.
Bref, un win-win deal... |
Published by Laurent de Rauglaudre
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dans
Coaching en ligne